Le blog de tempesdutemps.over-blog.fr

Photo Francis Massart Nuages usés Linges usés jusqu'à la transparence, effilochures grises passant très bas, les nuages, ce matin, ont tout de suaires anciens. Livres de poussière, arrivés d'un horizon oublié. Ainsi drossés vers nulle part, ils affolent...

Les Enchaînés Un pont sur la Seine... des cadenas le décorent comme guirlandes sur un arbre de Noël. Sauf que la symbolique est forte : un couple achète un cadenas à un vendeur (quelle aubaine pour eux, cette mode), écrit les deux prénoms sur le cadenas,...

7 Si la sublimation est l'art d'accomoder le malheur, alors, lentement, entre ses plumes, j'essuierai le chagrin. Je l'effleurerai comme une tête d'enfant. Je ferai une place immense pour l'Invisible, celui dont je sens, dont je veux sentir l'infini glissement....

Cette fois, j'arrête de gigoter ! D'ailleurs, va faire froid. Il y en a que ça ne gêne pas mais moi, voir la rivière couler sans pouvoir mettre mes pattes dedans, ça me prive trop ! Alors couettes, pulls, foulards et écharpes et petites ballades juste...

On a tout dit sur Elle, sur La Ville. Moi, provinciale et fière de l'être, j'y éprouve toujours le vertige des lieux, des couleurs, des lumières, des rencontres ! Petite dédicace spéciale à l'amie qui aime Charles Trenet. J'y allais pour une pièce de...

OCTOBRE Memory Nous étant dispersés dans l'or des poussières et des insectes, nous devions inévitablement nous retrouver au creux de notre couette d'octobre, parés de cent sortes de silences, préparant nos hivers, apaisant nos rires de raisin. Nous attendions......

Envie de promenade... et puis on se souvient : Juillet 2006, Moissac, un choc ! (pour la " petite " pieta, voir billet 199 du 21 juin 2011 Preuve, épreuve...) Nous y partons donc à nouveau, en faisant un grand détour par le nord, dans des campagnes emplies...

6 À folle allure, les nuages apportent de tes nouvelles, fils orageux, rudoyant de tes embardées le cours du temps, offensant pour toujours ma fierté. Mais l'intense consolation des oiseaux et toutes les étincelles que le vent allume restent acquises....

Bon, on se réveille un peu ? Ça barde de partout, c'est moche et ça pue... Et alors ? Et après ? On fait quoi ? On coule avec ? On est un peu hébété par le mystère de la violence humaine et c'est là qu'on comprend pourquoi on aime tant les animaux : eux...

Je mets la video car deezer ne veut pas me donner cette version et je ne veux que celle-là : Les Ombres errantes de Couperin par Alexandre Tharaud. On prend perpète quand certaines choses arrivent. Et c'est toujours le premier automne que l'on vit et...