À Thomas, Vincent, Pierre, à Éliane, Chistine et tous ceux et celles de "la pièce à côté" ...
On ne sait jamais...
Si mourir est traverser
si le funambule s'amuse
s'il faut penser "est" ou "était"
Aurions-nous déserté le vivant,
nié même la transparence et la présence ?
Avons-nous perdu de vue la destination
de ce long lacet de route ?
On ne sait jamais...
Si ce que l'on a connu a disparu
ainsi que l'ange
On sait toujours.